Répression, ou l'homme à la tête coupée.
L’inhumanité fait son bonhomme de chemin au sein de l’humanité.
On en arrive même à se faire violence juste pour vivre,
et à utiliser la violence pour survivre.
Mais elle n’est pas que physique.
Morale ou immorale, elle s’insinue par tous les pores de notre peau.
Politique, policière, religieuse, familiale…
Elle suinte de tous côtés et son nettoyage doit être permanent.
Peindre peut paraître comme étant un moyen d’expulser, par moment,
ce trop-plein de dégoût.
La peinture est une algarade interne et intime, dans laquelle j’aime me perdre.
Mais ici, ni vainqueur, ni vaincu.
Juste la satisfaction d’un voyage, d’une exploration,
et le miel édénique d’un calme endogène après la tourmente.
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